La Fondation Valentin Ribet, créée en hommage à un jeune avocat victime de l’attaque terroriste perpétrée au Bataclan à Paris le 13 novembre 2015, lutte contre l’illettrisme et favorise l’accès à l’éducation et à la culture.
Contre l’obscurantisme et la terreur, lutter avec les armes de l’éducation et de la culture.
130 morts et plus de 300 blessés, c’est le terrible bilan des attaques terroristes qui ont touché Paris le 13 novembre 2015, ciblant des lieux fréquentés par la jeunesse parisienne. Parmi les victimes, un jeune avocat de 26 ans, Valentin Ribet, décédé au Bataclan.
La Fondation Valentin Ribet vit le jour quelques semaines après ces événements tragiques, faisant écho au considérable élan de solidarité qu’ils ont suscité. Créée par sa famille et sa compagne en sa mémoire, elle incarne les valeurs auxquelles il croyait, valeurs essentielles pour bâtir une société humaine et juste, afin de « combattre avec des armes pacifiques l’obscurantisme qui, chaque jour, poursuit aveuglément des actes de destruction ».
Ainsi, la Fondation Valentin Ribet est toute entière dédiée à la lutte contre l’illettrisme et l’ignorance en favorisant l’accès à l’éducation et à la culture. Créer du lien social, encourager l’échange et l’ouverture à l’autre, c’est rendre hommage à toutes les victimes du terrorisme et agir concrètement pour l’avenir.
Comité Exécutif de la Fondation
De gauche à droite : Olivier Ribet, Président de la Fondation, Éva Naudon, Olivier d’Agay, Sylvie de Courcelles et Léa Ribet.
Membres du Comité absents sur la photo : Maxime Ribet, David Appelbaum